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Alternants chez ECR Environnement, ils sont partis 3 mois dans notre agence ECR Medio Ambiente à Barcelone

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Dans le cadre de leur formation d’ingénieur, Célia (agence d’Amiens) et Fabrice (agence de Lorient), tous deux en alternance chez ECR Environnement, devaient réaliser un stage de 3 mois à l’étranger. C’est dans cette optique qu’ils sont partis en Espagne, au sein de notre agence ECR Medio Ambiente Barcelona .

Nous avions pris le temps de les interroger lorsqu’ils étaient sur place, afin de recueillir leurs impressions à chaud. Retrouvez ci-dessous leurs témoignages en intégralité :

Pourquoi effectuer votre mobilité en Espagne ? (Était ce uniquement parce que cela était requis par votre université/école ?)

Fabrice : « J’ai choisi la formation d’ingénieur en grande partie parce qu’elle me permettait de voyager tout en pratiquant ce que j’aime le plus, le génie civil. J’ai opté pour l’Espagne car cela représentait un vrai défi personnel, une nouvelle langue, une nouvelle culture, une sortie de ma zone de confort. Je savais que me confronter à ce type de challenge me ferait progresser, tant sur le plan professionnel que personnel. »

Célia : « Dans les faits, la CTI (Commission des titres d’ingénieurs) exige que les futurs ingénieurs réalisent une période de mobilité à l’étranger (12 semaines pour les alternants dans mon école). Cependant, j’ai toujours eu l’envie de voyager et de découvrir d’autres horizons, cette exigence de la CTI était donc l’occasion parfaite. Je voulais voyager dans un pays relativement assez proche de la France et qui m’intéressait d’un point de vue culturel. Je connaissais l’existence de l’agence de Barcelone et après discussion avec mon Maître d’Apprentissage, j’ai décidé de contacter Victor Sanchez Vila pour savoir si c’était possible. »

Comment s’est passée votre arrivée à Barcelone ? Comment avez-vous été accueilli ?

Fabrice : « Mon arrivée à Barcelone s’est très bien déroulée. Dès ma sortie de l’aéroport, je n’ai pas eu de difficultés à récupérer mon appartement. Le premier jour, j’ai été chaleureusement accueilli par Victor, le responsable des agences ECR Medio Ambiente, ainsi que par toute l’équipe. L’ambiance conviviale m’a tout de suite mis à l’aise et a facilité mon intégration. »

Célia : « L’avantage de Barcelone est que la ville est très bien desservie par de nombreux moyens de transports et il est également facile de s’y retrouver. A l’agence, j’ai été très bien accueillie par toute l’équipe et l’ambiance y est très agréable. Concernant les langues parlées, ils sont plusieurs à parler français et/ou anglais en plus de l’espagnol / catalan donc il est assez facile de communiquer. »

Quelles sont vos missions au quotidien ?

Fabrice : « Au départ, on m’a présenté les différentes activités de l’agence et les équipements utilisés pour les missions de monitoring. Ma première mission sur le terrain s’est faite avec l’équipe topographique, sur un projet de nivellement : il s’agissait de lever des points en altimétrie afin de vérifier les coordonnées des installations sur le site. J’ai également participé à une mission de détection de réseaux. Actuellement, je travaille principalement avec Célia sur des missions de monitoring sur plusieurs chantiers. »

Célia : « Pour ma part, j’ai commencé par réaliser la traduction de différents documents (de l’anglais, espagnol, catalan vers le français). J’ai par la suite été formé à l’utilisation de certains outils de monitoring (inclinomètre, fissuromètre) mais la plupart du temps je réalise des missions de monitoring avec des stations robotisées sur divers sites (cimetières, métros, zones en travaux). »

Y a-t-il un projet qui vous a marqué ? Une anecdote ?

Fabrice : « Le projet qui m’a le plus marqué est celui des missions de monitoring dans les cimetières de la ville. Ce sont des lieux particuliers, à la fois impressionnants et chargés d’histoire, notamment le cimetière de Poblenou où nous avons vu la célèbre statue du Baiser de la Mort. Une anecdote marquante est qu’un jour, je suis tombé sur un tombeau ouvert contenant des squelettes. J’ai eu un petit moment de panique (le cœur a fait un triple salto), mais je me suis ressaisi vite fait. J’avoue, ça surprend quand même un peu même sans les effets spéciaux ! »

Célia : « Comme l’a dit Fabrice, la ville de Barcelone possède de nombreux cimetières, plus ou moins anciens qu’il est important de surveiller régulièrement pour assurer le maintien des structures. Les cimetières sont bien différents de ce que j’ai pu voir en France et sont vraiment magnifique. Le cimetière de Sant Gervasi offre notamment une belle vue sur la ville, le cimetière Les Corts se situe juste à côté du stade Camp Nou et le cimetière de Poblenou est très connu pour la statue « The Kiss of Death. » »

Avez-vous découvert des méthodes de travail différentes de celles en France ? Qu’est-ce que cela vous a apporté ?

Fabrice : « Globalement, les méthodes de travail sont assez similaires à celles que j’ai pu observer en France, notamment en ce qui concerne l’organisation des dossiers sur un serveur commun et le suivi des chantiers. Ce stage m’a permis de mieux comprendre ce qu’est le monitoring, son utilité, et d’apprendre à utiliser les différents équipements associés. »

Célia : « Pour ma part, travaillant habituellement dans le domaine de la géotechnique j’avais assez peu entendu parler de monitoring et c’est un plaisir de découvrir ce domaine, son utilité et les divers outils pouvant être utilisé. »

Un conseil à donner à un futur stagiaire/alternant d’ECR Environnement qui souhaiterait effectuer sa mobilité en Espagne ?

Fabrice : « J’ai eu la chance de passer par plusieurs agences d’ECR Environnement, et à chaque fois j’ai retrouvé une ambiance conviviale, bienveillante et professionnelle. L’agence de Barcelone ne fait pas exception : l’équipe y est soudée et très accueillante, même si la barrière de la langue peut parfois exister au début. Pour ceux qui aiment découvrir de nouvelles façons de travailler, s’ouvrir à d’autres cultures et apprendre autrement, je recommande vivement cette expérience. »

Célia : « C’est toujours un peu compliqué de quitter sa zone de confort et de s’ouvrir à de nouvelles choses mais cette mobilité est une occasion unique de rencontrer de nouvelles personnes, tisser de nouveaux liens mais aussi de découvrir une nouvelle culture, une nouvelle langue et de nouvelles villes. Donc même si ça peut faire peur sous certains angles c’est vraiment une magnifique expérience mais il faut bien s’y préparer en recherchant des logements (beaucoup de choix selon les périodes mais également beaucoup d’arnaqueurs) ou encore les modes transports et les différents abonnements possibles ou encore sur les démarches nécessaires pour vivre et travailler en Espagne (selon la durée, NIE, banque, forfait de téléphone). »

Merci à eux pour leurs témoignages et merci à l’équipe de Barcelone pour leur accueil !

Chez ECR Environnement, les projets se coconstruisent ensemble, et les demandes de mobilité sont facilitées grâce à notre réseau d’agences (en France et en Espagne).

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